DÉFI Biodiversité – Se connecter au vivant
Lancé à l’Académie du Climat le 22 mai 2023, le DÉFI Biodiversité rassemble un collectif de citoyens, experts, designers, associations spécialistes…
Sa mission : imaginer puis lancer de nouveaux projets d’impact visant à développer notre connexion au vivant.
Vous souhaitez vous engager en tant que citoyen, entreprise, association ou média ? Contactez-nous !
Pourquoi ce DÉFI ?
Plus encore que pour le climat, nous ressentons concrètement la crise de la biodiversité.
Chants d’oiseaux qui s’éteignent, sols inodores, méconnaissance du vivant… La perte des sensations qui nous relient au vivant nous chavire.
Alors, comment provoquer chez chacun d’entre nous le sentiment d’urgence et le désir de passer à l’action ?
Comment nous connecter au vivant dans nos sociétés hors sol, nos villes minérales et nos vies (dé)connectées ?
L’ambition du Défi Biodiversité est de faire émerger un ou plusieurs projets d’envergure susceptibles de nous connecter au vivant, individuellement et collectivement.
Les temps forts du DÉFI
Les premiers projets retenus
Le comité d’impact du Défi
Les contenus
CONFÉRENCE D’OUVERTURE
Le lancement du Défi Biodiversité avait lieu le 22 mai dernier à l’Académie du Climat.
Retrouvez le replay des interventions si inspirantes de nos quatre intervenants.
Marc-André Selosse nous propose un plongeon au coeur de la biodiversité, Heidi Sevestre nous parle avec sensibilité de ses chers et fragiles glaciers, Alexandra Ternant nous raconte l’histoire de l’Odyssée sensorielle et Magali Payen nous donne les clefs des actions de mobilisation massive.
SECONDE CONFÉRENCE – À la recherche de l’amour perdu
La seconde conférence avait lieu le 5 juillet, à l’Académie du Climat.
Grégory Quenet, historien de l’environnement a commencé par dresser une perspective historique de nos relations au vivant avant de mettre en exergue le rôle des énergies fossiles dans notre processus collectif de ‘déconnexion’.
Philippe Dubois est, quant à lui, notamment revenu sur la notion d’amnésie écologique : ” Au fil des générations, nous avons tendance à oublier des espèces, c’est le syndrome de la référence changeante “.
Les participants ont ensuite participé à un atelier d’intelligence collective pour établir précisément les causes de notre déconnexion qui serviront de piliers à la définition des projets que nous porterons.