Interviews des Engagés
Des paroles aux actes

La vérité algorithmique n’existe pas
Il nous faut accepter l’idée que le monde est complexe et que, par conséquence, il n’y a pas de vérité. Quelles soient algorithmiques, scientifiques ou journalistiques, toutes nos méthodes pour établir des vérités sont biaisées et risquées.
18 juin 2020/par Jérôme Cohen
Le biomimétisme : Pour une transition innovante et durable
Nous avons tous beaucoup appris dans les derniers mois. Il nous faut maintenant développer la réflexivité vis-à-vis de ces apprentissages, c’est-à-dire rechercher, dans tous ce que nous avons appris, ce qui peut nous aider à penser et à agir différemment demain.
Ai-je appris à relever des défis personnels, professionnels, familiaux, à prendre conscience de ma vulnérabilité ? Ai-je appris à apprendre ?
Cet exercice peut se faire à l’échelle individuelle, collective, sociétale, mondiale, et à tous les âges.
17 juin 2020/par Jérôme CohenAi-je appris à relever des défis personnels, professionnels, familiaux, à prendre conscience de ma vulnérabilité ? Ai-je appris à apprendre ?
Cet exercice peut se faire à l’échelle individuelle, collective, sociétale, mondiale, et à tous les âges.
Qu’ai-je appris ?
Nous avons tous beaucoup appris dans les derniers mois. Il nous faut maintenant développer la réflexivité vis-à-vis de ces apprentissages, c’est-à-dire rechercher, dans tous ce que nous avons appris, ce qui peut nous aider à penser et à agir différemment demain.
Ai-je appris à relever des défis personnels, professionnels, familiaux, à prendre conscience de ma vulnérabilité ? Ai-je appris à apprendre ?
Cet exercice peut se faire à l’échelle individuelle, collective, sociétale, mondiale, et à tous les âges.
10 juin 2020/par Jérôme CohenAi-je appris à relever des défis personnels, professionnels, familiaux, à prendre conscience de ma vulnérabilité ? Ai-je appris à apprendre ?
Cet exercice peut se faire à l’échelle individuelle, collective, sociétale, mondiale, et à tous les âges.

Entreprise : s’accrocher à ses convictions
Les entreprises qui ne croient pas en quelque chose de plus grand que les marchés avancent vers un monde très instable, qu’elles subissent totalement. Il s’agit de passer d’un monde fortement tiré par les logiques de marchés, à un monde d’après dont les besoins sociétaux inspirent les décisions stratégiques beaucoup plus nettement. C’est en tout cas ma conviction profonde.
10 juin 2020/par Jérôme Cohen
ENGAGE Calls : l’imaginaire s’est mis en marche !
Au-delà de l’angoisse qu’elle a provoqué, la période en cours nous a aussi permis de nous arrêter pour prendre un peu du recul.
L’imaginaire a en quelque sorte bénéficié d'un temps pour ce remettre en marche ! Les ENGAGE Calls ont vocation à appuyer ce mouvement...c’est dans les périodes de choc que les évolutions les plus conséquentes, positives ou négatives, deviennent possibles.
4 juin 2020/par Jérôme CohenL’imaginaire a en quelque sorte bénéficié d'un temps pour ce remettre en marche ! Les ENGAGE Calls ont vocation à appuyer ce mouvement...c’est dans les périodes de choc que les évolutions les plus conséquentes, positives ou négatives, deviennent possibles.

Intérêt général : la stratégie du choc
Ce qui me révolte aujourd’hui, c’est que l’on doit se battre pied à pied pour défendre des causes qui devraient relever de l’évidence : les droits fondamentaux et la santé.
Avec l’équipe de Foodwatch, nous nous battons tous les jours pour faire adopter des mesures de prévention pour protéger la santé des citoyens en France et en Europe. Ce qui devrait relever du bon sens se transforme en bataille car l’Etat est constamment influencé par les intérêts privés, les lobbies, les multinationales et les accords de commerce internationaux.
20 mai 2020/par Jérôme CohenAvec l’équipe de Foodwatch, nous nous battons tous les jours pour faire adopter des mesures de prévention pour protéger la santé des citoyens en France et en Europe. Ce qui devrait relever du bon sens se transforme en bataille car l’Etat est constamment influencé par les intérêts privés, les lobbies, les multinationales et les accords de commerce internationaux.

Donner un sens à l’avenir
Je suis convaincu que les artistes peuvent jouer un rôle important pour donner un sens à l’avenir. Il nous faut créer des mouvements communautaires et des think tank d’artistes pour nous donner les moyens de continuer à travailler.
Pour les artistes, la crise en cours est aussi une opportunité pour faire évoluer nos pratiques. Pour nous demander comment les écrans et le numérique d’une part, et le local d’autre part, peuvent nous aider à répendre l’art partout. Pour nous aider à prendre de la hauteur par rapport à nos projets, à prendre plus de temps pour réfléchir à ce que nous faisons. Autrement, les peintres ne peindront plus que des bâtiments et les journalistes ne photographieront plus que des mariages.
14 mai 2020/par Jérôme CohenPour les artistes, la crise en cours est aussi une opportunité pour faire évoluer nos pratiques. Pour nous demander comment les écrans et le numérique d’une part, et le local d’autre part, peuvent nous aider à répendre l’art partout. Pour nous aider à prendre de la hauteur par rapport à nos projets, à prendre plus de temps pour réfléchir à ce que nous faisons. Autrement, les peintres ne peindront plus que des bâtiments et les journalistes ne photographieront plus que des mariages.

Des écologues au sein des entreprises ?
Il est essentiel de reconnaitre la valeur de la nature tout en évitant de lui donner un prix. Je m’insurge à l’idée qu’un thon rouge à une valeur nulle jusqu’au moment où il est pêché et vaut subitement un million d’euros. On ne peut pas continuer comme cela.
6 mai 2020/par Jérôme Cohen
Pour une éthique de l’action
Ma vision est qu’il faut directement aller de l’idée à l’action, sans passer par la réflexion. Les comités, les commissions, tous ces organes qui pensent le monde d’après, on en a trop fait. Aujourd’hui, on n’a plus le temps de réfléchir. Il nous faut passer à l’action !
Ce qui me raccroche à une forme d’espoir, c’est qu’il existe des solutions pour tout, dans tous les domaines. Que ce soit dans le bâtiment, le textile ou l’agroalimentaire, il existe des alternatives durables qui peuvent être mises en place dès demain. Et pour rendre ces nouvelles solutions désirables, il ne suffit pas de les raconter, il faut les vivre, les expérimenter.
28 avril 2020/par Jérôme CohenCe qui me raccroche à une forme d’espoir, c’est qu’il existe des solutions pour tout, dans tous les domaines. Que ce soit dans le bâtiment, le textile ou l’agroalimentaire, il existe des alternatives durables qui peuvent être mises en place dès demain. Et pour rendre ces nouvelles solutions désirables, il ne suffit pas de les raconter, il faut les vivre, les expérimenter.

Sortir de la certitude, entrer dans la complexité
Je doute sincèrement de la capacité de la génération des baby-boomers à comprendre les enjeux du XXIème siècle. Contrairement aux jeunes, nous avons grandi dans une société de la certitude. Certitude que le modèle économique de la croissance et le progrès permettait de tout vaincre. Et il est très difficile de changer ses certitudes au bout de 40 ans. Il n'y a que les jeunes qui ont, je l’espère, les capacités d'imagination permettant d’inventer un monde différent.
23 avril 2020/par Jérôme Cohen
Chassez le naturel …il revient au galop
Ce dont souffre la démocratie participative, c'est d'en être toujours restée à l'état d'expérimentation. Elle a aujourd'hui besoin d'institutionnalisation pour que, demain, la délibération des citoyens tirés au sort soit un critère clé de légitimation des décisions politiques.
Avec l'arrivée du Coronavirus, l'incertitude sur l'état futur des économies et des sociétés ne nous permet pas de savoir ce que sera la place des impératif écologique et démocratique dans les mois à venir. L'écologie et la démocratie risquent d’être les grandes perdantes de la période en cours, si nous ne nous mobilisons pas pour les défendre. Nous sommes dans un moment de grande incertitude où tout se joue.
Attention, il ne faut pas croire que « l’après » viendra après. L'après c'est maintenant. A travers nos réflexions, nos propositions, notre capacité à ne pas succomber à la tentation du retour en arrière, ni aux sirènes de l’autoritarisme. Nous sommes déjà collectivement en train de fabriquer l'après.
15 avril 2020/par Jérôme CohenAvec l'arrivée du Coronavirus, l'incertitude sur l'état futur des économies et des sociétés ne nous permet pas de savoir ce que sera la place des impératif écologique et démocratique dans les mois à venir. L'écologie et la démocratie risquent d’être les grandes perdantes de la période en cours, si nous ne nous mobilisons pas pour les défendre. Nous sommes dans un moment de grande incertitude où tout se joue.
Attention, il ne faut pas croire que « l’après » viendra après. L'après c'est maintenant. A travers nos réflexions, nos propositions, notre capacité à ne pas succomber à la tentation du retour en arrière, ni aux sirènes de l’autoritarisme. Nous sommes déjà collectivement en train de fabriquer l'après.

Construire ici et maintenant le monde d’après
Ce dont souffre la démocratie participative, c'est d'en être toujours restée à l'état d'expérimentation. Elle a aujourd'hui besoin d'institutionnalisation pour que, demain, la délibération des citoyens tirés au sort soit un critère clé de légitimation des décisions politiques.
Avec l'arrivée du Coronavirus, l'incertitude sur l'état futur des économies et des sociétés ne nous permet pas de savoir ce que sera la place des impératif écologique et démocratique dans les mois à venir. L'écologie et la démocratie risquent d’être les grandes perdantes de la période en cours, si nous ne nous mobilisons pas pour les défendre. Nous sommes dans un moment de grande incertitude où tout se joue.
Attention, il ne faut pas croire que « l’après » viendra après. L'après c'est maintenant. A travers nos réflexions, nos propositions, notre capacité à ne pas succomber à la tentation du retour en arrière, ni aux sirènes de l’autoritarisme. Nous sommes déjà collectivement en train de fabriquer l'après.
9 avril 2020/par Jérôme CohenAvec l'arrivée du Coronavirus, l'incertitude sur l'état futur des économies et des sociétés ne nous permet pas de savoir ce que sera la place des impératif écologique et démocratique dans les mois à venir. L'écologie et la démocratie risquent d’être les grandes perdantes de la période en cours, si nous ne nous mobilisons pas pour les défendre. Nous sommes dans un moment de grande incertitude où tout se joue.
Attention, il ne faut pas croire que « l’après » viendra après. L'après c'est maintenant. A travers nos réflexions, nos propositions, notre capacité à ne pas succomber à la tentation du retour en arrière, ni aux sirènes de l’autoritarisme. Nous sommes déjà collectivement en train de fabriquer l'après.

Crise du coronavirus : retrouver le futur
C’est dur à dire, mais nous avions besoin d’une rupture pour changer d’époque et entrer dans un nouveau cycle, celui de la guerre contre le réchauffement climatique et la destruction de l’environnement.
Avec la crise sanitaire et le confinement qui en découle, on réalise que si nous changeons nos modes de vie collectivement, à l’échelle planétaire, notre potentiel d’impact est énorme. Va-t-on réussir à penser cet épisode comme une première escarmouche pour un nouveau rapport à la nature ? Réaliser en quelque sorte que Descartes a perdu face à Rousseau, que l’homme doit négocier avec la nature ? Tout dépend de notre capacité à changer d’appui et à nous rassembler sous un nouveau contrat.
On a en tout cas l’opportunité d’entrer dans une période de grande ouverture. Et cela donne beaucoup d’espoir. C’est terrible de dire cela alors que des dizaines milliers de gens sont en train de mourir du virus, mais nous sommes dans une époque charnière où l’histoire peut s’ouvrir.
1 avril 2020/par Jérôme CohenAvec la crise sanitaire et le confinement qui en découle, on réalise que si nous changeons nos modes de vie collectivement, à l’échelle planétaire, notre potentiel d’impact est énorme. Va-t-on réussir à penser cet épisode comme une première escarmouche pour un nouveau rapport à la nature ? Réaliser en quelque sorte que Descartes a perdu face à Rousseau, que l’homme doit négocier avec la nature ? Tout dépend de notre capacité à changer d’appui et à nous rassembler sous un nouveau contrat.
On a en tout cas l’opportunité d’entrer dans une période de grande ouverture. Et cela donne beaucoup d’espoir. C’est terrible de dire cela alors que des dizaines milliers de gens sont en train de mourir du virus, mais nous sommes dans une époque charnière où l’histoire peut s’ouvrir.

Et si nous osions devenir grands ?
L’école de demain, c’est une école qui s’intéresse au monde qui l’entoure et au monde qui va lui succéder. Une école qui n’est pas déconnectée de la réalité, aussi bien des enjeux écologiques, sociaux et technologiques que de la vie des élèves. Une école dans laquelle la relation est fondamentale. Une école qui permet aux enseignants comme aux élèves de se former tout au long de leur vie. Et surtout une école qui permet à tous de se sentir bien.
30 mars 2020/par Jérôme Cohen
Bien s’informer, c’est bon pour pour la santé
L’information de qualité est vitale pour notre démocratie. Alors que les choix de sociétés devraient s’appuyer sur les faits, notre système politique nous incite à voter en écoutant nos émotions. Faute de consensus, nous avons tendance à sacraliser l’opinion, voire à retravailler ou sélectionner les faits pour les adapter à nos opinions. Dans le monde des médias, on a coutume de dire que « les faits sont sacrés mais les opinions sont libres ». Aujourd’hui, à l’ère d’internet et des réseaux sociaux, on a plutôt l’impression que « les opinions sont sacrées mais les faits sont libres ».
18 mars 2020/par Jérôme Cohen
Ecosia : faire pousser les arbres et les consciences
Le message que l’on porte, c’est que chacun, à son niveau, doit faire avancer les choses. Et c’est très dur, car les effets macroéconomiques des actions individuelles sont difficilement mesurables. Ce que l’on montre avec Ecosia, c’est que l’utilisation d’un outil gratuit, un mini-geste, peut avoir un impact positif et conséquent sur les écosystèmes : plus de 80 millions d’arbres plantés.
2 mars 2020/par Jérôme Cohen
Responsibility, accountability and action to face climate issues
I think involvement comes on a number of levels and is dictated by two things.
First it is about noticing and secondly it is about care. I hope that these things will lead to a feeling of responsibility, accountability and action.
18 février 2020/par Jérôme CohenFirst it is about noticing and secondly it is about care. I hope that these things will lead to a feeling of responsibility, accountability and action.

Biodiversité : il est trop tard pour être pessimiste.
Les écosystèmes ont une résilience certaine qui leur permet de se régénérer. De ce point de vue, « l’effet réserve » fonctionne plutôt bien. Dans les endroits où l’on a arrêté de pêcher, les écosystèmes peuvent se régénérer en 3 ans. C’est tout à fait extraordinaire !
3 février 2020/par Jérôme Cohen
L’ambition du collectif
Nous entendons beaucoup de choses! Pour moi, c’est à la fois un outil lorsque j'anime des ateliers, un objectif quand je cherche à en créer, voire un état d’esprit quand je fais partie d'un groupe. Je parlerais même de spiritualité lorsque je considère mon appartenance à un tout.
19 décembre 2019/par Jérôme Cohen
Isaac Getz : l’entreprise altruiste
us parlons de l’entreprise altruiste, le mot qui vient de alter latin. L’entreprise altruiste se mets au service inconditionnel de l’autre, dans le sens Lévinassien du terme.
22 novembre 2019/par Jérôme Cohen
Isabelle Gex : mettre le futur au défi de l’éthique
Oui, nous devons permettre à chacun de mieux concevoir et d’étendre son éthique citoyenne de la sphère privée à la sphère professionnelle, et de la mettre en cohérence. Il ne doit pas y avoir de séparation, l’éthique in business doit constituer une priorité.
12 septembre 2019/par Jérôme Cohen
Pauline Laravoire : from India with love
Ce qui est souhaitable, en revanche, c'est d'établir un état d'esprit qui donne une importance spontanée à ces enjeux...
31 juillet 2019/par Jérôme Cohen
Juliette Hamelin : explorer et transformer
Etre Explorateur, c’est évoluer dans un contexte porteur de sens, contributif au bien commun, apprenant et inspirant.
11 juillet 2019/par Jérôme Cohen
Guy-Philippe Goldstein : le défi éthique
...Un monde d'artistes et de scientifiques, où chacun est aussi un peu juge et chacun a dirigé, dirige ou va diriger un projet temporaire. Ce monde-là est peut être plus proche qu'on ne le pense.
3 juillet 2019/par Jérôme Cohen
Arup Ghosh : ce que nous pouvons nous apporter
Samata sarvabhutesu etad muktasya laksanam 😉 ...which means...Equality in all beings, this is the sign of Freedom.
23 mai 2019/par Jérôme Cohen
Notre impératif : prendre soin des autres et du vivant
Comme pour la biodiversité "la vie dans ce qu'il y a de divers".... les futurs désirables auxquels je crois comportent beaucoup de diversité : bienveillance, empathie, résilience, respect, changement de paradigme, de système...
9 mai 2019/par Jérôme Cohen
Favoriser l’émergence d’un leadership conscient
J’aime accompagner cette émergence, pour permettre aux personnes et à leurs systèmes de grandir en conscience, pour devenir plus responsables, « engagés » au monde.
26 avril 2019/par Jérôme Cohen
Karine Jacquemart : le citoyen comme levier
Mon envie pour le futur ? L'intérêt général : c’est tellement essentiel aujourd’hui de garder ce cap en tête par opposition aux lobbies que nous combattons et qui ne défendent la plupart du temps que des intérêts particuliers, au détriment des citoyen.ne.s, des biens communs, de la planète.
27 mars 2019/par Jérôme Cohen
Benoît Raphaël : j’ai besoin d’être bousculé
Je suis convaincu que l'on ne s'accomplit qu'en acceptant de se remettre en question sans jamais lâcher ses convictions. J'ai envie de faire le pari de l'humilité et de la bienveillance. Je suis venu ici pour être bousculé mais aussi pour passer du bon temps !
22 février 2019/par Jérôme Cohen
Emmanuel Delannoy : faire rentrer l’économie dans la biodiversité
La vision qui porte l’ensemble de mes activités est bien que ce n’est pas la biodiversité qu’il faut faire rentrer dans l’économie, mais bien l’économie qu’il faut faire rentrer dans la biodiversité.
19 décembre 2018/par Jérôme Cohen
Olivier Michelet : le temps de l’intuition et des utopies
Je ne parlerai pas de manque mais d’aversion immédiate et spontanée à l’utopie : aujourd’hui, évoquer l’utopie et à fortiori se réclamer de la longue et riche tradition du courant utopiste (profondément ancré dans la culture française) apparaît incongru, pour ne pas dire totalement disqualifiant, tant ses valeurs se situent en complet décalage avec les valeurs dominantes de notre époque et le nouveau credo : pragmatisme, efficacité, rationalité, rentabilité...
6 décembre 2018/par Jérôme Cohen
Amandine Lebreton : l’information scientifique pour provoquer l’engagement
La biodiversité est encore et toujours la grande oubliée des enjeux environnementaux alors même qu’elle est le socle de notre vie, le substrat de notre économie et même notre assurance majeure face au changement climatique ! La preuve, une COP biodiversité se tient actuellement en Egypte et personne ne le sait...
22 novembre 2018/par Jérôme Cohen
Reza : l’image pour changer le monde
Le photo-reporter Reza parcours le monde depuis 40 ans pour mettre…

Emmanuel DAVIDENKOFF : de L’Etudiant au Monde, il rêve d’une société apprenante
Rencontre éclairante avec Emmanuel Davidenkoff, journaliste…
24 octobre 2018/par Jérôme Cohen
Hamze Ghalebi : construire sa carrière après l’exil
Rencontre avec Hamze Ghalebi, jeune responsable politique iranien,…
11 octobre 2018/par Jérôme Cohen
Cédric Ringenbach, lobbyiste du climat
Intervenant-éclaireur à l’ENGAGE University, Cédric a dirigé…
13 septembre 2018/par Jérôme Cohen
Phillippe Bertrand : Apprendre, apprendre, apprendre… dans un monde incertain.
"Ceux qui enseignent aujourd'hui doivent être aux avant-gardes des incertitudes de notre temps", Edgar Morin.
31 août 2018/par Jérôme CohenJean-Philippe Teboul : L’ESS sort de l’entre-soi !
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28 juin 2018/par Jérôme Cohen
Jules Zimmermann : La créativité, un des enjeux clés pour le monde de l’innovation
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14 juin 2018/par Jérôme Cohen
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Simon Bernard : ENGAGE Camp Plastic Odyssey – 5 mois plus tard
En novembre 2017, lors des ENGAGE DAYS Power to the People,…
12 avril 2018/par Jérôme Cohen
Loïc Blondiaux : Il faut penser différemment le processus de décision
Loïc Blondiaux est intervenant à l'ENGAGE University…
22 mars 2018/par Jérôme Cohen
Jean-Gabriel Ganascia : L’intellligence artificielle est partout dans nos vies
Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à l’université…
1 mars 2018/par Jérôme Cohen
Pierre-Etienne Franc : L’entreprise au service de la Cité
Pierre-Etienne Franc vient de publier Entreprise &…
13 décembre 2017/par Jérôme Cohen
Floran Augagneur : L’Assemblée citoyenne du futur
Floran Augagneur, conseiller scientifique de la Fondation pour…
18 octobre 2017/par Jérôme Cohen
Solenne Roland-Riché : L’importance de la discipline positive
Bien peu de leaders aujourd'hui connaissent la différence entre le compliment et l'encouragement. Pourtant, il est considérable : l'un développe la coopération quand l'autre aiguise la compétition...
17 octobre 2017/par Jérôme Cohen
Béatrice Jung et Anne de Bagneux : Le leadership au féminin
Quel rôle les femmes peuvent-elle prendre pour accélérer notre transformation?
16 octobre 2017/par Jérôme Cohen
Walter Baets : L’apprentissage au 21e siècle
Walter Baets est Dean de thecamp, partenaire d'Engage, lieu dédié…
4 septembre 2017/par Jérôme Cohen
Simon Bernard et Alexandre Dechelotte : Dépolluer les océans
Le sujet est cette fois la pollution marine et l’accès aux solutions de recyclage du plastique. Néanmoins, à l’image de Solar Impulse ou Planet Solar, nous voulons montrer qu’il est possible de réaliser un tour du monde en parfaite autonomie, simplement en recyclant les déchets collectés sur les côtes pour faire avancer le bateau.
4 septembre 2017/par Jérôme Cohen